L'hydrothérapie chez soi : la médecine des capillaires - Michel Dogna

La clef de la dégénérescence et du vieillissement organique se trouve dans les 100 000 km de notre micro circulation capillaire qui nourrit et oxygène chacune de nos milliards de cellules.

Mais la médecine moderne ignore totalement ce volet de la physio-anatomie qui n’a rien à voir avec notre système cardio-vasculaire et qui représente néanmoins 80 % de la masse sanguine circulante. A savoir qu’à partir de la soixantaine, beaucoup de personnes n’ont plus que 30 à 40 % de leurs vaisseaux capillaires en activité. Il est clair que lorsque les gros vaisseaux se bouchent (artériosclérose), il y a longtemps que les micro-tuyaux sont bouchés aussi – (c’est en fait un problème de plombier).

Il y a plus d’un siècle que le médecin russe Alexandre SALMANOV (décédé en pleine forme en 1965 à l’âge de 90 ans) s’est avéré le pionnier et le maître absolu en la matière, et devenu célèbre par ses cures de rajeunissement et les guérisons qu’il obtenait sur des maladies classées inguérissables. Sa botte secrète : les bains hyperthermiques à la térébenthine, qu’il a baptisés « CAPILLOTHERAPIE ».

Les techniques d’hydrothérapie offrent à elles seules et à bon compte de multiples possibilités de guérisons dans de nombreux domaines.

• Bains Salmanov à la térébenthine : une révolution de la médecine
• Bains hyperthermiques : à la source des maladies
• Aquathermo différentiel : méthode Gardelle
• Capillar : un remède miracle pour régénérer l’organisme qui vient de Russie
• Padma basic : un remède tibétain de 2000 ans d’âge